Requiem

Tombé ce matin de ma chaise,
Aujourd'hui, le deuil nous met mal à l'aise
La poésie, la tendresse,
Jetée à travers les braises,
Hier à Paris,
Aujourd'hui sans vie,

Plongée dans le désespoir que cela cause,
La beauté, l'imagination, le talent,
Disparus dans les limbes du temps,
Fauché en plein élan telle une rose,

Accident stupide avec un soit disant camion,
Bientôt 30 ans que nous te regrettons,
Ton humour et ta bonne humeur nous rechercherons,
Mais plus jamais nous ne le retrouverons,

Tu n'es pas oublié de ce monde,
Tes actions sont plus que jamais indispensable,
Et je suis sur que de là haut tu nous regarde,
Le sourire au lèvre pensant a ton futur scketch,
Et comme d'habitude il commencera,
Par une phrase culte comme celle là:

"C'est l'histoire d'un mec..."

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Geek

Je sais pas quoi faire,
Et j'ai la flemme de promener ma grand mère,
Il ne reste plus qu'une solution,
Allez sur un site connu de communication,

Après quatre heures s'en s'arrêter,
Il faut prendre une pause avec mémé,
Et quoi de mieux pour une mamie,
Que de jouer à la WII ?

Malgré ses bras ankylosés,
Elle arrive un peu à jouer,
J'arrive quand même à gagner,
En même temps elle s'est endormis dans son panier,

Il est temps maintenant de se reposer,
Quoi de mieux que de regarder une série télé ?
Après quelques heures à mater le destin de lisa,
Il est temps de manger une pizza,

Surtout que dans quelques secondes,
Mes potes arrivent avec le micro onde,
Une soirée entre amis c'est génial,
On parlé de WOW et de dragonball,

Pourquoi travailler ?
Alors qu'on peut glander,
Resté avec internet et sa mémé,
En faisant le geek toute la journée ?

X

Pijole

Aujourd'hui est un grand jour,
Je visite mon oncle jean lou,
Qui habite dans l'ouest de la bourgogne,
Ma femme hurle parce que je prends ma gnôle,

Il est temps que je lui raconte l'histoire,
De Pijole, ma nature, mon terroir,
Mon oncle habite dans sa ferme,
C'est donc pour cela qu'il est infesté de germes,

Ce petit bout de terre à l'ouest de la bourgogne,
Est un havre de paix pour foutre des torgnoles,
Petit je me faisais attrapé dans les blés,
Puis me faisait tabassé,

Par les alcooliques du villages,
Non pas par outrage,
Mais pour un verre de rouquin qui tâche,
Même dans ce village d'alcooliques, il reste un être pure et chaste,
Le chien de mon tonton nommé, logiquement, Toutou chaste,

Bien que ce village soit boueux et visqueux,
Qu'il fasse dégobiller et que les odeurs fasse tomber les cheveux,
C'est vrai, c'est remplis de vieux,
Mais ils ne se rendent pas compte que c'est moche et que çà pue vu qu'ils sont heureux,

Les vacances à la mer c'est pour les riches,
Les vacances à la neige c'est pour les kitsh,
Mais vu que je ne suis ni l'un ni l'autre et que je bois un peu d'alcool,
Je pars, chez moi, à Pijole.

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Amor à mort

Visant les petites bêtes,
Allant jusqu'à sourire,
Léchant mes babines de bonheur,

En tirant je fût pris d'un rire dément,
Ne me rendant pas compte de la bêtise,
Tant elle fût surréaliste,

Ignorant les passants choqués,
Ne sachant que faire et traînant la jambe,
Je me rendis compte que je tenais le fusil vers mon pied,
Lorsque j'eus tiré.

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Robe Jaune

Dans la rue je cherchas une âme a réconfortée,
Étant seul et désespéré,
Je fouillas partout sans rien trouver,
les yeux embuées derrière une visière dû à une soirée,
Je vis le bonheur en face de moi.

Sa robe longue et jaune qui me toisais du regard,
Ses courbes arrondis qui me rendait l'air hagard,
Sa couleur de peau peu commune qui me fît renaître,
Et son reflet vert qui me bouleversa au plus profond de mon être.

Je ne pus m'empêcher de l'accoster,
Je la charma comme je n'avais jamais charmé,
Elle ne fût pas insensible a mes roucoulement
Car dans la nuit elle m'embrassa tendrement.

Putain elle était raide la marie jeanne,
Pour rêver que je tombais amoureux d'une Banane.


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Terrarium

Tu m'invitas chez toi un soir,
J'acceptais et promis d'apporter à boire,
Arrivé a ton appartement,
Une fleur entre les dents,

Je pus distingué entre ton aquarium et ton opossum ,
Un beau terrarium,
Intrigué par cette étrange construction,
Je discernas nombre de lombrics à foison,

Il a fallu que tu commença la discussion ,
Et tu me parlas de tes passions,
Ton aquarium avec des huîtres,
Et ton grand bocal rempli de lombrics,

Ce soir là tu me donnas un cadeau,
Une boîte fabriquée en roseau,

Arrivé chez moi je le fît tomber,
Et devant moi s'étendit,
Des lombrics et de la terre mouillée.


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Explications

Ce matin en me réveillant,
L'odeur de mon collègue malodorant,
Fît jaillir en moi une idée,
Malgré mes talents innés,
Ce ne fût pas facile de me décidé.

Malgré les dessins publiés,
Sur mon blog crée a cet effet,
De temps en temps je publierais,
Poème stupide certes, mais qui me font rigoler,
Ne faîtes pas attention au sujet,
Car (effectivement, certaines fois) vous risqueriez de pleurez.

Tant l'humour stupide que j'injecte dans ses tristes pensées,
Sont a déplorées.

Certes, elles raconte toutes des histoires de mec qu'on pas de chance,
Comme la fois où ce suicidaire,
Se trouva infesté de vers,
Car il séjournait dans un grenier,
A moitié dépecé par ses saletés,
Il décida tout de même de se tuer,
Il se défenestra mais manque de bol,
Un camion le percuta en plein vol.

Hmm... Certes, l'humour est assez noir,
Mais il fait rire quand même,
Enfin je prie quand même...

Il me reste a vous souhaité une agréable journée,
Et a vous donner rendez vous,
Si vous le souhaitez,
Je pourrais faire le prochain poème sur le thème du gnou...

Oublions cette erreur,
Disons nous au revoir,
Celà clôturera le fruit d'un dure labeur...

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